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Contraception masculine : encore un effort messieurs ! : DOSSIERS


« La contraception masculine: la meilleure manière de la connaître, c’était de l’essayer »

TÉMOIGNAGE A 30 ans, (nous en avons aujourd’hui 59), ma femme et moi aurions eu bien besoin de contraception masculine. […]

L’expérience d’Ardecom ou l’envers de la contraception

Cyril Desjeux est docteur en sociologie et auteur d’une thèse sur l’histoire d’ARDECOM, association d’hommes militant pour la contraception masculine. […]

Les hommes vasectomisés, une espèce encore trop rare

La vasectomie est une méthode de contraception idéale pour les hommes qui sont sûrs de ne pas ou ne plus […]

Contraception masculine : encore un effort messieurs !

DOSSIER Contraception masculine : non, il n’est pas possible que la France, pays des lumières et des droits humains soit aussi […]

BOULET

Aux Etats-Unis, l’Etat fédéral et les États qui le composent ne garantissent toujours pas le droit des femmes à une santé sexuelle et reproductive qui les respecte. Les femmes de couleur et/ou pauvres sont évidemment les premières en ligne de mire. Aprés la décision Roe v Wade, en 1973, l’avortement est reconnu comme un droit constitutionnel. Cette décision est fondée sur le 14 ème amendement de la constitution des Etats-Unis qui souligne le droit constitutionnel à l’intimité décrit comme droit à la « privacy » La question de la vie du fœtus indépendant de la mère est donc restée sous-jacente.

La décision reconnaît à l’Etat la possibilité «d’affirmer avec raison son intérêt dans la protection de la santé de la mère, ainsi que dans la protection d’une vie potentielle.»  Cette affirmation laisse un doute quant au positionnement de la mère : est-elle une personne à part entière ou une personne porteuse d’un fœtus ?

En 1977, le Hyde amendement a interdit tout financement fédéral de l’IVG. Plusieurs lois sont passées insidieusement qui ont accrues la surveillance de la vie sexuelle et reproductive des femmes dans un contexte national de surveillance élevée. Ainsi l’avortement et la grossesse ont été de plus en plus sous surveillance légale.

Il faut remettre ce concept de surveillance et punitions dans l’environnement économico-politique du Washington consensus et du néolibéralisme qui a permis une transformation des politiques sociales produisant une augmentation des disparités et du nombre d’incarcérations.

Cette série d’articles se propose d’examiner l’évolution des droits sexuels et reproductifs aux États-Unis où l’on observe une élimination progressive des centres d’avortement État par État ainsi qu’une surveillance accrue des femmes enceintes. Le but est de comprendre comment et pourquoi les femmes et en particulier les femmes les plus pauvres et de couleur sont devenues les cibles de mécanismes de surveillance et de punition. De plus, il s’agit d’éclaircir la façon dont les États-Unis utilise «surveillance et punition» pour influer globalement sur les droits des femmes.

Brigitte Marti et Dan Moshenberg, collaboratrice et collaborateur USA  50-50 magazine

Pas de répit pour les associations américaines de défense des droits des femmes

Les associations américaines de défense des droits sexuels et reproductifs sont bien à la peine alors que la droite républicaine […]

BOULET

Aux Etats-Unis, l’Etat fédéral et les États qui le composent ne garantissent toujours pas le droit des femmes à une santé sexuelle et reproductive qui les respecte. Les femmes de couleur et/ou pauvres sont évidemment les premières en ligne de mire. Aprés la décision Roe v Wade, en 1973, l’avortement est reconnu comme un droit constitutionnel. Cette décision est fondée sur le 14 ème amendement de la constitution des Etats-Unis qui souligne le droit constitutionnel à l’intimité décrit comme droit à la « privacy » La question de la vie du fœtus indépendant de la mère est donc restée sous-jacente.

La décision reconnaît à l’Etat la possibilité «d’affirmer avec raison son intérêt dans la protection de la santé de la mère, ainsi que dans la protection d’une vie potentielle.»  Cette affirmation laisse un doute quant au positionnement de la mère : est-elle une personne à part entière ou une personne porteuse d’un fœtus ?

En 1977, le Hyde amendement a interdit tout financement fédéral de l’IVG. Plusieurs lois sont passées insidieusement qui ont accrues la surveillance de la vie sexuelle et reproductive des femmes dans un contexte national de surveillance élevée. Ainsi l’avortement et la grossesse ont été de plus en plus sous surveillance légale.

Il faut remettre ce concept de surveillance et punitions dans l’environnement économico-politique du Washington consensus et du néolibéralisme qui a permis une transformation des politiques sociales produisant une augmentation des disparités et du nombre d’incarcérations.

Cette série d’articles se propose d’examiner l’évolution des droits sexuels et reproductifs aux États-Unis où l’on observe une élimination progressive des centres d’avortement État par État ainsi qu’une surveillance accrue des femmes enceintes. Le but est de comprendre comment et pourquoi les femmes et en particulier les femmes les plus pauvres et de couleur sont devenues les cibles de mécanismes de surveillance et de punition. De plus, il s’agit d’éclaircir la façon dont les États-Unis utilise «surveillance et punition» pour influer globalement sur les droits des femmes.

Brigitte Marti et Dan Moshenberg, collaboratrice et collaborateur USA  50-50 magazine

La loi, la politique, la religion et le corps des femmes

DOSSIER  Il y a 42 ans l’arrêt Roe versus Wade de la Cour Suprême aussi appelé « la décision » avait fait […]

BOULET

Aux Etats-Unis, l’Etat fédéral et les États qui le composent ne garantissent toujours pas le droit des femmes à une santé sexuelle et reproductive qui les respecte. Les femmes de couleur et/ou pauvres sont évidemment les premières en ligne de mire. Aprés la décision Roe v Wade, en 1973, l’avortement est reconnu comme un droit constitutionnel. Cette décision est fondée sur le 14 ème amendement de la constitution des Etats-Unis qui souligne le droit constitutionnel à l’intimité décrit comme droit à la « privacy » La question de la vie du fœtus indépendant de la mère est donc restée sous-jacente.

La décision reconnaît à l’Etat la possibilité «d’affirmer avec raison son intérêt dans la protection de la santé de la mère, ainsi que dans la protection d’une vie potentielle.»  Cette affirmation laisse un doute quant au positionnement de la mère : est-elle une personne à part entière ou une personne porteuse d’un fœtus ?

En 1977, le Hyde amendement a interdit tout financement fédéral de l’IVG. Plusieurs lois sont passées insidieusement qui ont accrues la surveillance de la vie sexuelle et reproductive des femmes dans un contexte national de surveillance élevée. Ainsi l’avortement et la grossesse ont été de plus en plus sous surveillance légale.

Il faut remettre ce concept de surveillance et punitions dans l’environnement économico-politique du Washington consensus et du néolibéralisme qui a permis une transformation des politiques sociales produisant une augmentation des disparités et du nombre d’incarcérations.

Cette série d’articles se propose d’examiner l’évolution des droits sexuels et reproductifs aux États-Unis où l’on observe une élimination progressive des centres d’avortement État par État ainsi qu’une surveillance accrue des femmes enceintes. Le but est de comprendre comment et pourquoi les femmes et en particulier les femmes les plus pauvres et de couleur sont devenues les cibles de mécanismes de surveillance et de punition. De plus, il s’agit d’éclaircir la façon dont les États-Unis utilise «surveillance et punition» pour influer globalement sur les droits des femmes.

Brigitte Marti et Dan Moshenberg, collaboratrice et collaborateur USA  50-50 magazine

USA : Contrôle et violences d’État sur le corps des femmes

Ces dernières années le débat sur les droits du fœtus a resurgi avec les lois fœticides. Certains États, accordent le […]

En Indiana, être enceinte peut mener à la prison

Alors que le  114ème congrès américain, nouvellement élu s’est fortement droitisé, avec une majorité républicaine venue du Tea Party, les droits […]

Aux Etats-Unis : avorter peut mener en prison

Aux Etats-Unis, il devient de plus en plus difficile d’avoir accès à l’IVG. Au delà de l’IVG, il s’agit pour […]

IVG aux USA: surveiller et punir

Aux Etats-Unis, l’Etat fédéral et les États qui le composent ne garantissent toujours pas le droit des femmes à une […]

Eglantine Jamet-Moreau : « L'Eglise est totalement androcentrée »

Eglantine Jamet-Moreau est maîtresse de conférence à l’Université Paris X Nanterre, spécialiste de civilisation britannique, chercheuse en études de genre. […]

Dominique Venturini présidente de Plein Jour : « Pourquoi opposer l’amour de Dieu à l’amour humain? »

TEMOIGNAGE « Plein Jour » est une Association de soutien aux compagnes clandestines de prêtres. Dominique Venturini en est la présidente depuis […]

Catholiques et féministes ?

Une question provocatrice aux yeux de celles et ceux pour qui la réponse est forcément négative. En effet, du côté […]

Jon O'Brien, président de Catholics for Choice (USA) : « Liberté de religion, liberté par la religion »

Basée à Washington, l’organisation Catholics for Choice (CFC) fut fondée en 1973 « pour faire entendre la voix des catholiques qui […]

Antony Favier: "l'Eglise catholique a construit sa théologie sur la préservation de la tradition"

Antony Favier est agrégé d’histoire, doctorant en histoire du genre et histoire religieuse. Il est membre de David et Jonathan […]

Anne Soupa : « le Comité de la jupe souhaite que les hommes d’Église ne portent plus de robe. »

Le comité de la jupe est une association fondée en 2009 par Christine Pedotti et Anne Soupa. C’est la phrase […]

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Découpe de savons par les ouvrières de l’Assela Women’s Cooperative de Bethléem

Comment faire, quand on est soumis à une brutale occupation, pour ne pas réduire la lutte en faveur de l’égalité femmes-hommes à un « front secondaire » ? Comment ne pas oublier, lorsqu’on veut faire front contre l’ennemi commun – l’occupant –  que l’on compte en ses propres rangs les pires oppresseurs des femmes ?

50/50 est parti en Palestine rencontrer ces militantes qui mènent trois combats de front : celui pour se libérer de la colonisation israélienne ; celui pour faire reconnaître leurs droits de travailleuses ; celui pour desserrer le joug du patriarcat et de la domination masculine. Dans ce nouveau dossier de 50/50, une enquête sur la situation des Palestiniennes au travail et dans les syndicats ; les portraits de deux féministes : Neda, la syndicaliste et Sawsan, la psychologue ; un reportage sur la coopérative des femmes brodeuses d’Hébron ; une interview du journaliste et défenseur des droits humains Michel Warschawski. Autant de rencontres qui temoignent d’une même réalité : en Palestine, beaucoup ont compris que l’égalité hommes-femmes, loin de nuire à l’émancipation politique et à la justice sociale, en constitue l’indispensable complément, sinon la condition préalable.

Philippe Merlant 50-50


                            	        	

                                

Michel Warschawski : « Une lueur d’espoir, malgré tout »

Né en France et émigré en Israël, journaliste et co-fondateur du Centre d’information alternative (AIC), Michel Warschawski a reçu, en […]

PORTRAIT: Sawsan, la force tranquille de la jeunesse palestinienne

Elle n’a que 26 ans, mais assure avec brio une délicate mission d’assistance psychologique auprès des femmes de la région […]

REPORTAGE: Les femmes brodeuses d'Hébron

Voilà une dizaine d’années, elles se sont mises en coopérative pour pouvoir gagner des revenus tout en travaillant chez elles. […]

PORTRAIT: Neda Abu-Zant, syndicaliste et féministe

Elle est la première femme à avoir été élue au syndicat palestinien des transports et s’est portée volontaire pour coordonner […]

Des syndicalistes pour l’égalité (2)

Enquête 2ème partie Le combat politique On l’aura compris : en Palestine, la question de la place des femmes est indissociable […]

Des syndicalistes pour l’égalité

ENQUÊTE  1ére partie Comme dans bien des pays arabes, la vision patriarcale traditionnelle tend à confiner les Palestiniennes à la […]

"L'objectif est la parité qualitative"

Danielle Bousquet, ancienne député des Côtes d’Armor, aujourd’hui Présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes, […]

Mairies et intercommunalités  : des chasses gardées masculines

Mariette Sineau, politologue au CEVIPOF/Sciences Po analyse les résultats des élections municipales du mois de mars dernier au regard de la […]

Elles Aussi: "le machisme reste très prégnant dans le milieu politique"

  Armelle Danet est la présidente d’Elles Aussi. Ce collectif est constitué de neuf associations de femmes, nationales et locales […]